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Reprise d'un article de Yves Ducourneau publié sur :

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/macron-le-candidat-sans-casserole-191960

 

Emmanuel Macron est-il un candidat « intègre » et « sans casserole », comme l’affirme le chanteur Renaud ? (1) Le Decodex étant à la mode : vérifions.

 

1. L’affaire Alstom : la France durablement appauvrie et affaiblie

Pour s’emparer de la branche énergie d’Alstom, les États-Unis ont usé de la ruse et de la force. La ruse, car General Electric a négocié en secret avec Patrick Kron, DG d’Alstom. La force, car l’administration US infligeait parallèlement une forte amende à Alstom, 772 millions de dollars (2). Mais le ministre de l’Économie Arnaud Montebourg ne s’en laissait pas compter et signait un décret dit « de patriotisme économique » (3), également appelé décret « anti-GE » (4), afin de protéger « un maillon essentiel de notre indépendance énergétique ». Essentiel, en effet : Alstom fabrique l’Arabelle, la meilleure turbine au monde, d’une durée de vie de 60 ans. L’Arabelle équipe nos centrales nucléaires, les nouveaux réacteurs EPR et 30% des centrales nucléaires dans le monde (5). L’Arabelle est la clé de notre électricité nationale. Le Japon a pu stopper – difficilement – ses centrales nucléaires en 2011 parce que la part du nucléaire y est de 25 à 30% (6). En France, elle est de 80%. Le rachat par General Electric de l’Arabelle lui confère un pouvoir considérable sur notre pays, qu’il va s’empresser d’exercer.

Mais revenons au décret Montebourg. Ce décret accorde à l’État un droit de veto dans certains secteurs stratégiques. Mais lorsque Macron succède à Montebourg au ministère de l’Économie, tous les voyants passent au vert. Macron donne sans hésiter sa bénédiction et fait par la même occasion le bonheur de son précédent employeur, la banque Rothschild, qui se trouve être l’intermédiaire financier de la transaction (7). La perte de ce fleuron industriel et le conflit d’intérêt impliquant Macron sont si gênants, que lors du grand débat sur BFMTV, Macron niera devant cinq millions de téléspectateurs. (8) (9).

Les conditions de la vente aggravent le scandale. Non seulement Alstom est vendu « pour un plat de lentilles » (5) mais la France paie aussi l’amende (7). Par ailleurs, et revenant sur sa parole, General Electric opère immédiatement un plan de licenciement massif : 10 000 postes dans le monde, dont 6 500 en Europe et 830 en France (10). Dans la foulée, GE re-négocie durement ses engagements avec EDF. Pour imposer ses conditions, GE ira jusqu’à organiser une grève de la maintenance de plusieurs jours, obligeant EDF à activer ses procédures d’urgence (11). La France est en slip. C’est une « catastrophe » selon Loïk Le Floch-Prigent (12), « un scandale d’État » selon le journaliste Jean-Michel Quatrepoint (13).

Emmanuel Macron n’a, certes, pas été le seul décisionnaire mais il a débloqué la vente au moment décisif et n’a pas tenté le moins du monde de s’y opposer. En tant qu’ancien “conseiller acquéreur” chez Rothschild (14), Macron avait forcément une opinion et a, forcément, pesé dans la décision.

JPEG Macron visite les turbines « General Electric », à Belfort en mai 2015 (photo L’Est Républicain (15)).

 

 

 

2. L’affaire Drahi : le rachat de SFR est le plus gros LBO français

Patrick Drahi est un financier, virtuose de la culbute à crédit et habitué des plans de licenciement massifs (16) (17). Lorsqu’il convoite SFR, la réponse du ministre Montebourg est cinglante : « Numéricable [Drahi] a une holding au Luxembourg, son entreprise est cotée à la bourse d’Amsterdam, sa participation personnelle est à Guernesey dans un paradis fiscal de Sa Majesté la reine d’Angleterre, et lui-même est résident suisse ! » (18). Mais, bis repetita, la main de Macron apparaît et se montre autrement plus favorable. Le 13 mars 2014, Jean-René Fourtou et Jean-Francois Dubos, dirigeants de Vivendi, ont rendez-vous à l’Élysée afin de s’assurer que la République ne s’opposera pas à la vente. Mais le rendez-vous n’a pas lieu et c’est un peu plus tard dans la soirée, par téléphone, qu’Emmanuel Macron, alors secrétaire général de l’Élysée, donne le feu vert. Dépité, Montebourg ne peut qu’exprimer ses réserves le lendemain dans les médias (19). Macron n’a certainement pas tranché seul mais, contrairement à Montebourg, il n’exprime aucune réticence sur le recours aux paradis fiscaux, ni sur les plans de licenciement dont Drahi est coutumier. Et méthodes auxquelles il restera fidèle.

Deux ans après, les licenciements se confirment : 5 000 suppressions de poste sont annoncées en 2016 et vont priver SFR d’une partie de ses forces vives (20). La qualité du service se dégrade. Les clients quittent SFR par millions et la société enregistre un nombre record de plaintes (21). Mais les actionnaires sont heureux… (22) Ce qu’il est convenu d’appeler pudiquement l’optimisation fiscale, se confirme aussi : grâce à une astucieuse offre couplée, associant abonnement et presse, l’opérateur ne verse à l’État que le taux de TVA le plus bas des deux, soit une perte annuelle de 350 millions d’euros pour le Trésor Public (23). Sans susciter jusqu’à présent de réaction de l’État, ni de Macron.

L’amitié liant Emmanuel Macron à Bernard Mourad, lui-même proche de Patrick Drahi (24), a-t-elle pesé ? Mourad dément mais l’indulgence de Macron envers des irrégularités ultérieures commises par SFR, le suggère (25).

 

3. L’affaire de l’aéroport de Toulouse : les promesses n’engagent…

Emmanuel Macron l’avait promis : la vente de cet aéroport à des investisseurs chinois n’était « pas une privatisation ». Las, Laurent Mauduit révèle dans les colonnes de Mediapart, scan à l’appui, l’existence d’une clause secrète garantissant que l’actionnaire majoritaire, c’est-à-dire l’État, « s’engage d’ores et déjà à ne pas faire obstacle à l’adoption des décisions prises en conformité avec le projet industriel tel que développé par l’Acquéreur [chinois] dans son Offre », autrement dit à voter dans le même sens que l’acquéreur. La Casil, un « fonds rapace » aux mains de Mike Poon, homme d’affaires soupçonné de corruption en Chine, n’a pas oublié de lire. Six mois plus tard, les actionnaires historiques tirent l’alarme : la Casil s’apprête à siphonner la trésorerie de l’aéroport… (26)

 

4. Whirlpool : les délocalisations continuent

Interrogé sur le plateau de France 3 par François Ruffin au sujet de la délocalisation de l’usine Whirlpool d’Amiens, leur ville natale commune déjà frappée par la délocalisation de Goodyear (27), Emmanuel Macron justifie son inaction et son silence (28) par le refus d’être « démago » (29). Selon le Petit Robert, la démagogie est une politique qui flatte, qui exploite les sentiments des masses. Nous comprenons donc que si les Français ont besoin d’un emploi, c’est parce qu’ils sont trop émotifs…

 

5. L’affaire du Monde : petites trahisons entre amis

En 2010, la société des rédacteurs du Monde, contrainte par sa situation financière, ne peut plus assurer son indépendance. Emmanuel Macron propose alors gracieusement son aide pour les négociations à venir. Un improbable hasard va cependant dévoiler son double jeu. Alors que les rédacteurs se rendent à un rendez-vous, ils croisent, au pied d’un immeuble, Emmanuel Macron et Alain Minc, ce dernier étant proche de Claude Perdriel, candidat au rachat et dont Macron pousse justement la proposition auprès des rédacteurs. Laurent Mauduit révèlera un document confirmant le lien entre Macron et Minc lors de cette tentative de prise de contrôle du Monde. (30)

 

6. Une bulle médiatique

Au cours des six mois qui suivent la création d’En marche !, le mouvement d’Emmanuel Macron, la présence du présidentiable dans les médias a été 2,5 fois supérieure à celle dans les réseaux sociaux. Le taux de présence dans les médias se situe alors à 43%. Les taux de présence s’égalisent ensuite, par le bas. Selon le politologue Thomas Guénolé, ceci caractérise une bulle (31).

Après la bulle, les médias continuer à chanter les louanges de leur favori. Claude Perdriel, qui a déclaré sa flamme à Macron (32), mobilise ses titres phares et jusqu’aux moindres recoins de son empire médiatique, pour son poulain. Challenges, L’Histoire et Sciences et Avenir multiplient les unes et les éloges (33). La macronite aiguë est si avancée dans la version électronique de Challenges que le Syndicat des journalistes s’en émeut (34).

Pierre Bergé, qui soutient lui aussi Macron (35), voit certainement d’un bon oeil la macromania s’emparer de L’Obs (36), journal dont il est co-propriétaire avec Claude Perdriel (37). Même le très prestigieux Monde, dont Bergé est l’un des propriétaires, se prend parfois au jeu. En témoignent ces deux articles où le nombre de participants à un meeting de Macron et de Mélenchon se voient quasiment inversés (38).

La galaxie Drahi n’est pas en reste. À L’Express, Christophe Barbier enchaîne les unes et les éditoriaux enthousiastes (39), tandis que sur BFM-TV, Macron occupe massivement l’antenne (40).

 Vous avez dit “pensée unique” ?

 

 

 

 

 

 

7. La censure de LCI

En plein campagne, l’équipe d’En marche ! menace la chaîne LCI de poursuites et obtient le retrait de la rediffusion d’une émission critique à son encontre, la Médiasphère du 3 avril. Celle-ci ne contenait ni diffamation, ni injure mais pointait les faiblesses bien réelles d’En marche (41).

8. Des effectifs surestimés

Une semaine après le lancement d’En marche !, le mouvement comptait déjà 13 000 adhérents, chiffre annoncé par Macron lui-même. Impossible ? En effet ! Le Canard Enchaîné corrige l’impétueux candidat et précise qu’il s’agissait du nombre de vues de la page Internet (42).

Un an plus tard, l’antenne de Haute-Garonne se prévaut de 5 000 adhérents. Stupéfaction : aucun autre mouvement politique du département n’a jamais atteint un tel chiffre. Explication : l’inscription sur Internet ne prend que quelques minutes et, surtout, aucun paiement n’est demandé. « Ni rencontre, ni vérification d’identité, n’importe qui peut adhérer le nombre de fois qu’il le souhaite. » (43).

9. Ni de gauche, ni de gauche

Un an après son lancement tonitruant et six semaines seulement avant le premier tour, En marche ! publie enfin son programme (44). Un article ne suffirait pas pour évoquer les faits et gestes du ministre Macron, son expérience politique, ses influences et, finalement, son programme présidentiel, aussi nous contenterons-nous ici d’un bref aperçu. Selon Dany Lang et Henri Sterdyniak, économistes atterrés, l’idée maitresse qui préfigure le programme de Macron consiste en un partage du travail au sein des classes populaire et moyenne, c’est-à-dire entre “favorisés” ayant une situation stable, et chômeurs (45). Précariser et baisser les salaires des uns, et faire monter les emplois "Uber" pour les autres, est précisément la doctrine des Gracques (46), cercle de réflexion économiquement marqué à droite et dont Macron est à la fois le favori (47), et la quintessence.

Selon Henri de Castries, soutien de François Fillon qui, rappelons-le, prépare une « Blizkrieg » contre les acquis sociaux dès l’été suivant son élection (48), « Notre désaccord [avec Macron] concerne le rythme et la méthode » (45). Pas le contenu. C’est sans doute pour “prendre le rythme” que Macron annonce, dans les jours qui suivent, son intention de procéder par ordonnances, dès l’été (49).

10. Pas d’argent public ?

Emmanuel Macron insiste sur le fait qu’il ne bénéficie d’ « aucune subvention publique. Chez moi, on ne vit pas du contribuable. » (50). Or, toute somme versée à un mouvement politique donne droit à une réduction d’impôt. D’autre part, les partis qui atteignent 5% au premier tour voient leurs frais de campagne en partie remboursés.

11. L’affaire des 120 000 euros de frais de représentation

Durant ses huit derniers mois au ministère de l’Économie et alors qu’il avait levé le pied dans ses fonctions, Emmanuel Macron a utilisé 80% des frais de représentation du ministère pour rencontrer de multiples personnalités, dont certaines sans rapport avec l’économie (51). Son entourage dément que ces frais aient été utilisés pour le présidentialiser. Interrogé sur LCP, Michel Sapin n’écarte cependant pas l’hypothèse, considère l’usage des frais de représentation comme relevant de la liberté du ministre et, néanmoins, « condamne (…) ce choix » (52).

12. La correction fiscale sur 2013-2014

À la suite d’une ré-évaluation de sa maison au Touquet par le Trésor Public, de 1,2 à 1,4 millions d’euros, Emmanuel Macron devient éligible à l’ISF et doit s’acquitter d’une correction fiscale rétroactive pour les années 2013 et 2014. Bien que Macron ait accepté de bonne grâce l’évaluation du fisc, il est important de noter que Macron s’est déclaré opposé à l’ISF (53).

13. Le patrimoine : où sont passés les millions ?

Après avoir gagné 2,8 millions d’euros chez Rothschild en 2011 et 2012 (54), le patrimoine net d’Emmanuel Macron, que tout haut fonctionnaire est tenu de déclarer, est évalué à -6000 euros si l’on applique les taux d’intérêt du moment à un prêt de 550 000 euros contracté auprès d’un particulier (55). Étonnant patrimoine négatif ! Dès lors, la question court la presse : où sont passés les millions ? (56) Selon l’entourage de l’ancien banquier d’affaires, Macron avait un train de vie élevé, exigé par sa fonction. L’avocat fiscaliste Jean-Philippe Delsol, de l’IREF, observe pour sa part que les travaux dans la maison du Touquet manquent sur la déclaration, soit un montant de 500 000 euros (57). Selon Delsol, ce manquement ne peut être que « réfléchi et délibéré ». L’IREF demande l’ouverture d’une enquête (58).

Conclusion

Le patrimoine d’Emmanuel Macron et son usage des fonds publics posent question et nécessitent à tout le moins davantage de transparence.

Économiquement parlant, le candidat Macron est indubitablement marqué à droite. Il laisse faire les marchés – au risque de participer à des erreurs irréversibles, comme dans l’affaire Alstom. Les français doivent connaître son positionnement mais le “ni de gauche, ni de droite”, abondamment repris par les médias, n’y aide pas.

Enfin, l’ancien banquier d’affaires se montre prévenant pour le 1%, où il compte de nombreux appuis, et semble au contraire indifférent aux difficultés de nombreux français. Son programme leur promet du sang, de la sueur et des larmes, pour le plus grand bien des “marchés”.

Un grand merci à HC, grand militant anti-nucléaire, pour m’avoir mis sur la voie de cette énorme affaire Alstom.

 

Yves Ducourneau le 17 avril 2017

Notes :

(1) « Présidentielle : Renaud choisit de soutenir Emmanuel Macron », par Manon Aublanc et AFP, 03/04/2017, 20 Minutes

(2) « Alstom : retour sur un suicide français », entretien avec Jean-Michel Quatrepoint par Eléonore de Vulpillières, 11/09/2016, Le Figaro

(3) « Alstom : l'Etat signe un décret de "patriotisme économique" », par Cédric Pietralunga et David Revault d'Allonnes, 14/05/2014, Le Monde

(4) « Décret Alstom : un "réarmement" qui témoigne de l'impuissance de l'État », par Bertille Bayart, 15/05/2014, Le Figaro

(5) « Vente d'Alstom : le dessous des cartes », entretien avec Jean-Michel Quatrepoint par Alexandre Devecchio, 05/01/2015, Le Figaro

(6) « Japon : la part nucléaire dans l'électricité a chuté à 10,7% après Fukushima », par Charb, 13/06/2012, Sciences et Avenir

(7) « Comment Macron a vendu Alstom aux américains », 09/11/2016, Spécial Investigation, Canal+, extrait

(8) « Débat présidentiel : les dix approximations des candidats », 05/04/2017, Le Figaro

(9) « Macron pris en flagrant délit de mensonge gravissime », par Ruth Elkrief et Laurence Ferrari, 05/04/2017, Elysée 2017 – le grand débat, BFM-TV, extrait

(10) « GE/Alstom : les syndicats dénoncent des "licenciements boursiers" », par AFP, 13/01/2016, L'Express

(11) « Nucléaire : bras de fer entre EDF et General Electric », par Caroline Michel, 01/06/2016, L'Obs

(12) « Arabelle : il ne fallait pas se tromper », par Loïk Le Floch-Prigent, 03/06/2016

(13) « Alstom, scandale d'État », Jean-Michel Quatrepoint, 09/09/2015, éditions Fayard

(14) « Au fait, il faisait quoi chez Rothschild, Emmanuel Macron ? », par Rémi Noyon, 28/08/2016, L'Obs

(15) « Belfort : la visite d'Emmanuel Macron en images », 28/05/2015, L'Est Républicain

(16) « Main basse sur l'information », par Laurent Mauduit, 09/2016, éditions Don Quichotte, pages 133-154

(17) « Le LBO ou comment Patrick Drahi et Altice se taillent un empire dans les télécoms », par Dimitri Crozet, 20/05/2015, L'Expansion

(18) « Bercy donne son feu vert au rachat de SFR par Numericable », par Jamal Henni, 12/11/2014, BFM Business

(19) « Vivendi a choisi de céder SFR à Numericable », 14/03/2014, Les Échos

(20) « Drahi. Un cauchemar pour SFR », par Cyprien Boganda, 15/09/2016, L'Humanité Dimanche

(21) « SFR : les plaintes ont explosé de 120% en 2016 ! », par Thomas Le Bars, 24/01/2017, Capital

(22) « SFR : les bons calculs de Patrick Drahi », par Sandrine Cassini et Alexis Delcambre, 29/04/2016, Le Monde

(23) « Comment SFR va faire perdre 350 millions d'euros par an à l'Etat », par Francois Geffrier et Grégoire Martinez, 20/05/2016, Europe 1

(24) « Bernard Mourad quitte Altice pour rejoindre l'équipe d'Emmanuel Macron », par Gilles Fontaine, 04/10/2016, Challenges

(25) « Les médias de Patrick Drahi roulent-ils pour Emmanuel Macron ? », 26/03/2017, JDD

(26) « Aéroport de Toulouse : Macron rattrapé par son mensonge », par Laurent Mauduit, 16/06/2016, Mediapart (abonnés seulement), repris ici

(27) « Goodyear Le vrai bilan d'une fermeture : 1 143 licenciés, 12 décès, dont 3 suicides », par Cyprien Boganda, 22/01/2016, L'Humanité

(28) « Amiens : Macron était-il au courant des intentions de Whirlpool ? », par Gaël Rivallain, 07/04/2017, Le Courrier Picard

(29) « Macron - Ruffin : échange tendu sur Whirlpool dans l'Emission politique de France 2 - France 3 Hauts-de-France », par EM et JAG, 07/04/2017, France 3 Régions, extrait

(30) « Main basse sur l'information », par Laurent Mauduit, 09/2016, éditions Don Quichotte, pages 197 à 203

(31) « Oui, le phénomène Macron était bien une (énorme) bulle médiatique », par Thomas Guénolé, 13/02/2017, Marianne

(32) « Pour Claude Perdriel, propriétaire de Challenges, "c’est Macron !" », par Jean-Dominique Merchet, 17/10/2016, L'Opinion

(33) « Sciences et Avenir se met en quatre pour Emmanuel Macron », par Laurent Dauré, 02/03/2017, Acrimed

(34) « La présidentielle à Challenges : les « observations » de la société des journalistes (SDJ) », par le Syndicat des journalistes de Challenges, 31/03/2017, Acrimed

(35) « Emmanuel Macron reçoit le soutien de Pierre Bergé », par AFP, 31/01/2017, Le Point

(36) « L'Obs observe Emmanuel Macron… jusqu’à L’Obsession ? », par Julien Salingue, 13/01/2017, Acrimed

(37) « Médias français : qui possède quoi », par Jérémie Fabre, 07/2016, Le Monde Diplomatique

(38) « Mensonges et manipulation médiatique : meetings de Macron et de Mélenchon ! », par Kurt le belge, 02/04/2017, sa chaîne YouTube

(39) « Ces journaux qui en pincent pour Macron », par Jérôme Lefilliâtre, 12/07/2016, Libération

(40) « BFMTV diffuse autant de Macron que de Fillon, Hamon, Mélenchon et Le Pen réunis ! », par Étienne Girard, 21/02/2017, Marianne

(41) « Critiques contre Macron et Le Pen : sous la pression, LCI supprime un replay », par Pauline Moullot et Vincent Coquaz, 04/04/2017, Libération

(42) « "En marche" : quand Macron gonfle le nombre de ses adhérents », par le service Metronews, 13/04/2016, LCI

(43) « Les adhérents fictifs d’En Marche ! », par Infos Toulouse, 28/02/2017, leur site

(44) « Emmanuel Macron dévoile son programme », par Esther Paolini et AFP, 02/03/2017, Le Figaro

(45) « Libéralisme. Emmanuel Macron joue à cache-cache avec son programme », par Maud Vergnol, Sébastien Crépel, Thomas Lemahieu, Clothilde Mathieu, Olivier Morin et Adrien Rouchaléou, 07/04/2017, L’Humanité

(46) « Une réforme destinée à donner enfin un avenir à la jeunesse », par Bernard Spitz, 11/03/2016

(47) « Les Gracques en marche ! », par Les Gracques, 25/03/2017

(48) « Un Blitzkrieg nommé Fillon », par Kaze Tachinu, 25/11/2016

(49) « Emmanuel Macron annonce qu’il réformera le Code du travail par ordonnances », par Victor Dhollande-Monnier, 09/04/2017, Europe 1

(50) « Emmanuel Macron accusé d'avoir utilisé les fonds de Bercy pour lancer En Marche ! », par TV, 25/01/2017, L'Obs

(51) « Emmanuel Macron peut-il être inquiété dans l’affaire des « frais de bouche » ? », par Maxime Vaudano, 03/02/2017, Le Monde

(52) « Emmanuel Macron et les 120 000 euros de Bercy », 26/01/2017, JDD

(53) « Après réévaluation de son patrimoine, Macron va devoir payer l'ISF », par Les Échos et Agences, 31/05/2016, Les Échos

(54) « Argent d’Emmanuel Macron : les questions qui dérangent », par Bruna Basini, 18/02/2017, JDD

(55) « Macron : 3,6 millions d’euros de revenus, et patrimoine négatif ? », par Olivier Berruyer, 03/06/2016, son blog

(56) « Macron : pourquoi sa déclaration de revenus et de patrimoine suscite la polémique », par Guillaume Poingt, 14/03/2017, Le Figaro

(57) « Macron a menti sur sa déclaration de patrimoine : 500 000 euros oubliés ! », par Jean-Philippe Delsol, 27/03/2017, IREF

(58) « Patrimoine d’Emmanuel Macron : L’IREF demande l’ouverture d’une enquête », par Célia Mascre, 11/04/2017, France 3 Régions

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